A la demande de quelques-uns, de quelques-unes, je reviens sur le thème "La maladie cherche à me guérir" du Dr Philippe Dransart.
Le sujet du jour: les fractures, et plus particulièrement (pout toi, ma belle oie des neiges), celles des côtes.
Une fracture résulte d'un mouvement contraire à notre structure.Ceci se produit lorsque nous sommes embarqués dans un mouvement inverse à notre être ou à la position que nous avons adoptée. C'est comme un conflit ouvert, une révolte contre une situation qui nous est imposée, une rebellion ou une révolte contre l'autorité:"Ca passe ou ça casse". La fracture résulte d'un rapport de forces intense dans lequel nous nous sommes impliqués avec obstination au niveau de nos croyances profondes (les os). L'expression "lui briser les os" traduit également ce rapport de forces avec cette volonté de détruire l'adversaire dans ses fondations profondes.
La fracture, comme toute atteint osseuse, est à interpréter selon l'ndroit où elle se localise, mais sa nature osseuse signe l'existence d'un problème profond lié à notre structure et à nos bases intimes, à tout ce qui fait notre charpente psychologique.
Parlons maintenant du sujet préoccupant du moment: les côtes.
Les côtes sont une protection.
Notre tronc est comme le tronc d'un arbre, sur lequel prennent appui nos membres et où s'abrite l'intendance. Sur la colonne dorsale s'articulent les côtes, qui participent au mouvement respiratoire. Par cette participation, elles peuvent être concernées par ce qui touche notre "espace" vital, d'une façon analogue à celle de la vessie, à ceci près que cela ici touche symboliquement "l'air", la parole qui nous blesse, alors que l'inflammation de vessie traduit notre sentiment d'être "envahi".
Bon mardi à tous.